« Il ne s’agit pas que d’un accord commercial, mais aussi de notre espoir de sortir l’Afrique de la pauvreté », a déclaré WAMKELE MENE, le Secrétaire Général de la ZLECAf, lors de la cérémonie virtuelle de lancement.
Depuis le 1er janvier 2021, les pays africains ont officiellement commencé des échanges dans le cadre de la mise en œuvre de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf), qui représente un marché de 1,2 milliard de consommateurs, et un PIB combiné d’environ 3 000 milliards de dollars américains pour les 54 États-membres de l’Union Africaine.
Cette zone de libre-échange se donne à voir comme étant une opportunité d’accélération de l’industrialisation des pays, de l’intégration économique, soutenus par l’ouverture plausible aux marchés des capitaux et à la consommation.
Cependant, quels que soient les fondements solides des objectifs de la ZLECAf, ceux-ci resteront hors d’atteinte, si les entreprises africaines ne sont pas en mesure de tirer pleinement parti des possibilités et opportunités qu’offre la zone, en termes d’échanges et d’investissements.